Popp’y : «Semer la bonne humeur» les 6 et 7 septembre
Vedette annoncée du prochain Campagne en fête, Popp’y a accepté de nous accorder quelques mots malgré son emploi du temps plus que chargé.
Salut Popp’y ! Alors, est-ce que c’est une pression d’être un épi de maïs sous les feux de la rampe pour un événement aussi important ?
De la pression ? Non… sauf si c’est pour finir en pop-corn ! Plus sérieusement, je gère bien, j’ai été semé pour ça.
On dit que vous êtes en pleine croissance, comme l’événement ! C’est difficile de garder les pieds sur terre quand on monte aussi vite ?
Mes pieds sont bien ancrés dans la terre, pas de souci ! Mais c’est vrai, entre moi et Campagne en Fête, ça pousse fort… On a la même croissance que les maïs en plein mois de juillet !
Y a-t-il des personnalités du monde agricole qui vous inspirent ? On murmure que vous êtes fan de Phillipe Katherine…
Philippe Katerine ? Je l’adore… Il me donne la banane ! Mais mon idole, c’est surtout le roi du maïs… alias mon agriculteur préféré : Gilles Bril, celui qui m’a fait pousser !
En tant qu’épi de maïs, avez-vous un secret pour résister à la sécheresse ?
Bien sûr : boire beaucoup… mais pas que de l’eau ! Un petit jus de betterave, un smoothie de blé… ça aide ! Et puis, j’ai toujours la tête sous mon chapeau pour garder la fraîcheur.
Avec un nom pareil, on se demande : est-ce que la pop culture, ça vous parle ?
Moi, je suis plutôt passion nourriture, alors ça doit plutôt venir du pop-corn. Rien que d’en parler, je salive déjà.
Quel est votre objectif principal pour cette «Campagne en fête» ? Est-ce que c’est de faire de l’ombre à quelqu’un ?
De l’ombre ? Jamais ! Moi, je préfère semer la bonne humeur. Mon objectif ? Faire découvrir l’agriculture, amuser petits et grands et mettre le feu à Corbeil-Cerf… mais sans me griller, bien sûr.
Y a-t-il une autre mascotte d’un autre événement que vous admirez ?
J’admire Jim des Terres de Jim. J’avoue que j’ai toujours rêvé d’avoir sa chevelure de rêve.
3 questions à Gilles Bril, président de Campagne en fête 2025
«Créer un lien entre les citadins et le monde agricole»
Quelles sont les nouveautés prévues pour cette édition 2025 ?
Cette année, nous avons deux nouveautés majeures. D’abord, nous inaugurons un pôle équin avec toutes les animations qui gravitent autour : balades à poney, démonstrations de races de chevaux et de volailles. Ensuite, nous proposons un labyrinthe de maïs qui devrait séduire les familles. Ces nouveautés s’ajoutent à notre programmation habituelle avec les démonstrations de matériel agricole et les animations traditionnelles qui font le succès de l’événement.
Quels sont vos objectifs pour cette édition ?
Notre objectif est d’atteindre la barre des 10.000 entrées, soit une progression significative par rapport aux 8.500 visiteurs d’il y a deux ans. Mais au-delà des chiffres, notre but est triple : créer un lien entre les citadins et le monde agricole, renforcer la cohésion au sein de la profession - notamment en permettant aux Jeunes Agriculteurs de se retrouver et d’accueillir de nouveaux membres - et enfin, faire un gros coup de communication pour valoriser notre métier auprès du grand public.
Quel message souhaitez-vous faire passer aux visiteurs ?
Notre message s’adresse particulièrement au public familial : nous voulons faire découvrir les animaux d’élevage, faire connaître nos producteurs locaux et créer de l’animation sur le territoire. «Campagne en fête» est une vitrine de l’agriculture locale, une occasion unique pour les urbains de comprendre notre quotidien et nos savoir-faire. C’est aussi pour les Jeunes Agriculteurs une porte d’entrée idéale pour s’investir dans la profession et tisser des liens entre jeunes du même milieu.
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